Brittophone de naissance, elle explique : « L’utilisation du breton pour raconter les journées de travail dans les usines agro-alimentaires de la Cornouaille était une sorte de soulagement, une façon de dépasser la dureté du travail ». Son premier livre, Brilli, Toñ, Sardin.., est un témoignage précieux, au moment où l’on célèbre le centenaire de la grève des sardinières de Douarnenez.
Eliane Ansquer, Brilli, Toñ, Sardin, An Alarch Embannaduriou