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Auteurs Régionaux au festival 2019

Gérard Chevalier

À la suite d’une longue carrière au cinéma et à la télévision commencée à 30 ans Gérard Chevalier s’est lancé dans la littérature avec une affinité pour le genre policier et à suspense.

Après avoir tenu à la télévision des rôles populaires dans des séries Le 16 à Kerbriant, Les Gens de Mogador, Arsène Lupin, Vidocq, La Cloche Tibétaine et dans des téléfilms, il écrit et monte ses spectacles au café-théâtre puis de vraies pièces, comme Coup de pompe, dont il partage la distribution avec Annie Savarin et Bernard Carat.

Aujourd’hui, auteur de romans policiers et de thrillers, il s’est installé en Bretagne, sa terre d’inspiration inépuisable, terre qu’il affectionne tout particulièrement et à laquelle il rend un vibrant hommage à travers ses écrits.

L’ombre de la brume « Editions du Palémon »

Les monts d’Arrée. Lieu prestigieux bâti par une force naturelle puissante où la beauté, l’harmonie, le calme régénérateur ne sont perturbés que par la violence épisodique et habituelle des éléments. Après les grandes souffrances des siècles passés, les hommes qui vivent ici ont enfin trouvé un équilibre.

Rien ne semble pouvoir ébranler cet univers paisible et laborieux, habité de légendes miraculeusement héritées d’une culture orale disparue. Rien… sauf des petits vols insignifiants qui commencent à entamer la stabilité apparente d’une famille, et pas n’importe laquelle : celle du médecin du village. Rien… sauf des disparitions de personnes au sein de cette même famille, qui se fissure. Rien… sauf d’ignobles lettres anonymes qui font éclater un scandale plongeant dans l’angoisse le petit hameau de Saint-Cadou, jusque-là havre de quiétude.

Le comble est atteint lorsque l’on prétend que le monstre de l’Élorn, diable ou phénoménal sanglier carnivore, sort de sa retraite infernale pour établir la justice ! Alors la peur ancestrale de l’obscur, de l’inexplicable s’installe profondément chez les hommes des monts d’Arrée…

 

 

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Michel Courat

Si, pour des raisons professionnelles, Michel COURAT vit actuellement en Belgique, après 9 ans passés en Angleterre, ce vétérinaire a laissé son cœur dans le Trégor.

Amoureux de Locquirec depuis toujours, il y a exercé pendant des années avant de partir s’occuper de protection animale à l’étranger.

Mais il revient dans « sa » Bretagne aussi souvent que possible, et c’est là qu’il a écrit Ça meurt sec à Locquirec, son premier roman policier.

Son prochain livre « Family blues en pays léonard » aux Editions Alain Bargain

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Pierre Engélibert

Professeur des écoles pendant plus de trente ans au Faou, maire honoraire de la ville, Pierre Engélibert a profité de son départ à la retraite pour se remettre à l’écriture de nouvelles, de contes et de poèmes.

L’Ours du Finistère est son premier roman policier.

Grand lecteur et passionné de voyages, il vit toujours au Faou.

Drole d’Oiseau a Brest « Editions Alain Bargain »

Brest, août 1944 : un bébé est mystérieusement abandonné à des parents adoptifs par un collaborateur obligé de fuir devant l’avancée américaine.

Brest, avril 2018 : une avocate allemande est assassinée le soir même de son arrivé dans la ville. Elle ignorait que trois jours plus tôt, le président de l’Association du Souvenir Finistérien, l’homme qu’elle venait rencontrer, avait été tué.

 

 

 

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Jean Failler

Cet ancien mareyeur breton devenu auteur de romans policiers a connu un parcours atypique !

Passionné de littérature, c’est à 20 ans qu’il donne naissance à ses premiers écrits, alors qu’il occupe un poste de poissonnier à Quimper. En 30 ans d’exercice des métiers de la Mer, il va nous livrer pièces de théâtre, romans historiques, nouvelles, puis une collection de romans d’aventures pour la jeunesse, et une série de romans policiers, Mary Lester.

À travers Les Enquêtes de Mary Lester, aujourd’hui au nombre de cinquante-quatre, Jean Failler montre son attachement à la Bretagne, et nous donne l’occasion de découvrir non seulement les divers paysages et villes du pays, mais aussi ses réalités économiques. La plupart du temps basées sur des faits réels, ces fictions se confrontent au contexte social et culturel actuel. Pas de folklore ni de violence dans ces livres destinés à tous publics, loin des clichés touristiques, mais des enquêtes dans un vrai style policier.

La collection Filosec et Biscoto, qui compte aujourd’hui cinq tomes, s’adresse elle aux enfants : de vrais romans d’aventure, dont le cadre reste la Bretagne, pleins d’humour et de sentiments vrais que ces deux héros attachants transmettent rapidement au lecteur. Jean Failler a su relever le défi : redonner le goût de la lecture aux enfants à travers de formidables romans faits pour eux. La série connaît un grand succès, et a reçu plusieurs prix décernés par de jeunes lecteurs.

Jean Failler est également l’auteur de pièces de théâtre et de recueils de nouvelles.


Le vautour revient toujours « Editions du Palémon »

Tome 1

Quand le commissaire divisionnaire Fabien convoque Mary Lester en urgence, c’est que l’heure est grâve !

Un riche industriel s’est tué en chutant d’une falaise dans le Cap Sizun, près de la pointe du Raz. Tout laisse penser qu’il s’agit d’un dramatique mais banal accident de vélo.

Le parquet souhaite pourtant une enquête approfondie. Et le commandant Lester va devoir s’y coller.

Si la collaboration avec la gendarmerie se passe – une fois n’est pas coutume – à merveille, une ombre malfaisante plane cependant sur Mary… Celle du Vautour, le peu recommandable Lostelier, qu’elle a fait mettre derrière les barreaux il y a dix ans.

Lostelier vient d’être libéré, et la victime du Cap Sizun n’est autre que le nouveau mari de Cécile Poingt, sa maîtresse de l’époque.

Personne n’avait relevé la coïncidence. Cependant, elle n’a pas échappé à Mary Lester…

Tome 2

Mary Lester poursuit son enquête sur la chute de vélo de Robert Larnaca, riche industriel cornouaillais. Sa mort ressemble de moins en moins à un accident…

Le commandant Lester se retrouve aux prises avec le propriétaire d’une casse automobile de Quimper, un type franc comme un âne qui recule. Ce dernier a embauché Lostelier, alias le Vautour, à sa sortie de prison.

L’oiseau semble quant à lui s’être fait la malle et reste introuvable alors que le mobil-home dans lequel il avait élu domicile est parti en fumée, ce qui fait de lui un coupable idéal.

Trop idéal, peut-être ?

Mary commence à le croire…

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Marine Gloaguen

Met petra a c’hoarvez er Redadeg ? Lakaat ticheurt ruz tadig d’ar c’hi evit redek ? Daou istor evit farsal, hag evit ijin ur redadeg all…

Ar raktres-se zo bet kinniget gant mediaouegoù Kemper ha Fanny Chauffin. Krouet eo bet testennoù diwar-benn ar Redadeg gant skolajidi Diwan Kemper a-drugarez d’ar gelennerez Marine Gloaguen gant ar pal embann anezho evit penn kentañ ar Redadeg 2018 dindan stumm ul levr niverel.

 

 

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Anne Guillou

Dans la pratique courante, on peut s’étonner d’entendre utiliser le terme de matriarcat comme désignant un trait particulier de la société bretonne.

La péninsule se distinguerait par la place originale accordée aux femmes et cette notion qui fait référence au pouvoir féminin lui conviendrait plus qu’à toute autre région française.

L’idée qu’en Bretagne la femme aurait bénéficié d’une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu’un besoin de vérification se soit imposé.

On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu’elle occupe une place éminente dans la société.

Cette représentation est-elle fondée ? …

Pour en finir avec le matriarcat breton – Anne Guillou

Essai sur la condition féminine « Skol Vreizh »

 

 

 

 

 

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Stéphane Jaffrézic

Stéphane Jaffrézic habite et travaille à Quimper.

Il publie ici son seizième roman policier.

Il est par ailleurs organisateur de murder parties, et est membre du collectif d’auteurs finistériens “L’Assassin Habite Dans Le 29”.

Trafic en Finistère « Editions Alain Bargain »

Le capitaine Maxime Moreau a le chic pour s’attirer des ennuis. Alors qu’il fait des courses dans un supermarché, il est témoin d’un vol.

L’affaire pourrait en rester là, mais la fouille du véhicule du voleur va laisser perplexes les policiers intervenus à la demande des agents de sécurité.

Ce qui semblait au départ un simple fait divers va entraîner le capitaine Moreau et son équipe de la police judiciaire, dans une incroyable histoire franco-russe.

De Quimper à Douarnenez et de Brest à Morlaix, ils vont devoir se surpasser pour mettre à jour un circuit “touristique” des plus discutables, mais très lucratif.

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Bernard Larhant

Après trente années passées dans le Sud-Ouest, il devient créateur de jeux de lettres dans différentes publications, par le biais de la société RCI-Jeux. Avec notamment, en 2011, une grille de mots fléchés de 10 000 cases qui sera commercialisée.

C’est en 2006 qu’il publie son premier roman La Croisée des maux, chez Art Média Éditions, une histoire intimiste narrant la rencontre de deux écorchés de la vie.

Désormais installé à Plomelin, il publie depuis 2009, aux Éditions Alain Bargain, une série de romans policiers mettant en scène le capitaine Paul Capitaine et le lieutenant Sarah Nowak.

Manhattan – Tréboul  « Edition Alain Bargain »

Un cadavre est retrouvé dans la suite d’un hôtel : Eddy Kermorgant avait fait fortune en initiant une chaîne de crêperies bretonnes et il souhaitait offrir un casino à sa ville natale, Tréboul.

Événement à Tréboul. C’est l’ouverture du casino de la station, un vieux serpent de mer. L’initiateur ? Eddy Kermorgant, la cinquantaine, qui a fait fortune aux États-Unis dans une chaîne de crêperies bretonnes, veut offrir un cadeau à sa ville natale. Mais voilà, le soir de l’inauguration, on le retrouve mort dans une suite de l’hôtel de son établissement. Près de lui, le corps inanimé de la commissaire Radia Belloumi, un couteau à la main. Paul Capitaine débute la plus pénible des enquêtes pour tenter de sauver la grande patronne, d’autant que sa chef de groupe, Carole Mortier, doit affronter la police des polices, que Rose-Marie est en voyage de noces en Italie et que Sarah pouponne. Sueurs froides quotidiennes dans un triangle Quimper-Douarnenez-Châteaulin, face à un ennemi mystérieux, mais puissant et implacable.

Accompagnez Paul Capitaine dans sa pénible enquête sur un meurtrier mystérieux mais puissant, entre Quimper, Douarnenez et Châteaulin.

Un polar breton haletant qui vous filera des sueurs froides !

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Françoise Le Mer

Avec dix-neuf titres déjà publiés, Françoise Le Mer a su s’imposer comme l’un des auteurs de romans policiers bretons les plus appréciés et les plus lus.

Sa qualité d’écriture et la finesse de ses intrigues, basées sur la psychologie des personnages, alternant descriptions poétiques, dialogues humoristiques, et suspense à couper le souffle, sont régulièrement saluées par la critique.

Née à Douarnenez, Françoise Le Mer enseigne le français dans le Sud-Finistère et vit à Pouldreuzic.

Autopsie d’un mensonge « Editions du Palémon »

Aucun boulanger ne s’imaginerait tomber sur une scène de crime en livrant, un samedi matin, baguette et croissants chez l’un de ses clients.

C’est pourtant le cas de Jean Le Sueur, un artisan de Roscoff, qui découvre les corps sans vie du docteur Gauthier et de sa fille, Léa. L’émoi sera d’autant plus grand dans la paisible cité corsaire qu’on constate rapidement la disparition des deux autres membres de cette famille apparemment sans histoires: la mère, Caroline, et son fils, Jules.

Dans les jours suivants, le mystère de cette terrible affaire va s’épaissir encore car de nouveaux crimes qui pourraient être liés sont perpétrés dans le Finistère.

Quel mobile anime donc le machiavélique individu qui sème la mort dans des lieux aussi différents qu’une demeure bourgeoise roscovite, un humble penty de Plouhinec et la forêt de Toulfoën, près de Quimperlé?

Au commissaire Le Gwen, assisté du lieutenant Le Fur, l’éprouvante mission de conduire l’Autopsie d’un mensonge qui les plongera dans les abysses de la perversité humaine…

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Yann-Bêr kemener

Miz C’hwevrer 1926 – Marv eo Yann Pilhaouaer. Daoust hag-eñ eo marvet a-daol-trumm ?

Daoust hag-eñ eo marvet abalamour d’ur gwallzarvoud ? Pe lazhet e vije bet ? Enebourien en doa moarvat e bed kriz penn-kentañ an ugentvet kantved e Breizh-Izel, etre toull-dor ifern yen Yeun Elez ha porzh-mor Douarnenez, lec’h m’en doa kavet mignoned.

Penaos eo marvet eta ? Mont a ra e vab Yannig, 16 vloaz, war e roudoù da bilhaoua evit gouzout hiroc’h diwar-benn e vuhez ha kompren gwelloc’h perak ha penaos eo marvet.

Ur gwir enklask war hent ar wirionez an hini eo, ur c’hlask war-lerc’h personelezh e dad hag ur romant deskadurezh e-keñver ar vuhez hengounel, micherel, sokial, politikel ha reizhel.

Penaos eo marvet Yann Pilhaouer ? Saga Arvorika – levrenn 1 « Skol Vreizh »

En février 1926 décède Yann Pilhaouer. Est-il mort subitement ? A-t-il eu un accident ? Aurait-il été assassiné ?

Il avait certainement des ennemis dans le rude monde du début du XXe siècle, en Basse-Bretagne, entre « La porte de l’enfer » du Yeun-Elez et le port de Douarnenez où il avait trouvé des amis. Quelle est la raison de sa mort ?

Son fils Yannick, 16 ans, prend la route des pilhaouerien pour en savoir plus sur sa vie et comprendre la raison de sa mort. C’est une quête de vérité, une recherche sur la personnalité de son père, un roman d’apprentissage de la vie traditionnelle, professionnelle, sociale, politique et sexuelle.

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Goulc’han Kervella

Romant e brezhoneg

Skeudenn ar golo gant Jean-Paul Mellouet

Setu istor Jarl, un den yaouank a 23 vloaz, chomet gloazet war-lerc’h un argad spouronus hag euzhus er bloavezh 1916. Eñ, deuet en-dro d’e vro, tri bloaz war-lerc’h, ne oa ket bet sioulaet e spered. Daoust ma oa aet da besketaer ha bezhinaer adarre, evel araok, e oa aet e vuhez kent da get war ar memes tro…

Pelloc’h eget an istor fromus kontet deomp gant G. Kervella e kaver, er romant-mañ, buhez Arvoriz awechall,

pa veve an dud diouzh ar mor hag an douar, pa oa bevennet mat o buhez gant ar gizioù bro, al labour hag ar relijion.

Distro Jarl eus ar brezel – Goulc’han Kervella 

Jarl est un jeune homme de 23 ans. En 1916, après un assaut effroyable et sauvage, il est blessé gravement. À son retour au pays, trois ans après, son esprit ne s’apaise pas. Il a repris son métier de pêcheur goémonier mais sa vie d’avant a été bouleversée…

C’est l’histoire d’un Breton confronté aux blessures physiques et morales, écrite avec sensibilité par Goulc’han Kervella. C’est un tableau de la vie des gens de la côte, tirant leur subsistance de la terre et de la mer, au temps où la vie des hommes et des femmes était jalonnée par les traditions et la religion. 

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