A la ligne décrit la découverte de deux mondes inconnus de l’auteur, ceux des conserveries de poisson et des abattoirs bretons.
Un chant tantôt allègre, tantôt virulent, dédié « aux prolétaires de tous les pays , aux illettrés et aux sans dents avec lesquels j’ai tant ri, souffert et travaillé ».
Adrien Melin en restitue la vivacité et le souffle poétique.
Unique roman de Joseph Pontus.