Carlos Salem est devenu une figure du Festival. Et on le garde parce qu’en plus de son immense talent littéraire, il a aussi celui de nous arracher à l’ennui ! Il peut rater son avion… Il est capable, dans son agenda, de bloquer les bons jours mais le mauvais mois… Il a même envisagé de s’installer au Phare d’Eckmühl pour finir son dernier roman ! On ne sait pas encore ce qu’il nous réserve pour 2014, mais dans le pire des cas, il y aura toujours son dernier roman… et puis tous les autres… Et puis sa poésie… Et ses récits de bière-fiction… Et il a aussi un très beau répertoire d’histoires drôles.
Aller simple (2009)
Nager sans se mouiller (2010) (voir la critique)
Je reste roi d’Espagne (2011)
Un jambon calibre 45 (2013)
Texte : Catherine Le Ferrand